[ RALLYE DU CONDROZ] 7-8-9 Novembre 2008

forfais: la voiture n°3, J. Vandenheuvel/M. Vandenheuvel (Mitsubishi Lancer Evo IX)

trops de boulot...

dommage pour eux

mais sa ferra une mitsu en moin je commence a m en lacer de ces voiture la

MELISSA DEBACKERE ROULERA POUR RENTRER DANS L'HISTOIRE


À seulement 24 ans, Melissa Debackere pourrait devenir ce week-end la première femme champion (championne?) de Belgique de rallye. Portrait.

Elle avoue essayer de ne pas y penser. Mais dimanche soir, la jeune pilote de Wervik pourrait rentrer dans l'histoire du rallye national en devenant la première femme championne de Belgique. À condition d'éviter les pièges du parcours hutois et de contenir les assauts de Patrick Snijers et Hubert Deferm, les deux derniers pilotes en mesure de contrecarrer ses plans. «Je m'attends à une course très difficile, confie Melissa Debackere. J'affectionne les parcours très secs, et au Condroz, on se sait jamais comment seront les conditions climatiques. J'ai déjà roulé à Marchin cette année, mais il faut vraiment être de la région pour savoir comment rouler ici quand les routes sont grasses, connaître les endroits où il fait glissant ou non...»

Viser le championnat, c'était un but en soi en début d'année. Sa voiture - une Toyota Corolla WRC - est très compétitive malgré son âge, même si elle l'est moins que celle de certains concurrents (Hubert Deferm sur Impreza WRC, Freddy Loix sur Peugeot 207 S2000...) affrontés sur les routes du royaume cette saison. «Mais celui qui gagne une course ne gagne pas nécessairement le championnat, reprend celle qui a grandi au milieu des voitures au garage de ses parents, et qui y travaille aujourd'hui. Je vais tout essayer pour le remporter, je suis très motivée, mais si je termine 2e je n'aurai pas de regrets, surtout avec tous les problèmes rencontrés cette année.»

Des problèmes mécaniques, mais aussi et surtout la perte de son compagnon Hans Goudezeune, décédé tragiquement lors de la sortie de route de Larry Cols pendant la préparation de l'East Belgian Rally. Ingénieur de son état, il avait pris place dans le baquet de droite pour tester le comportement de la voiture. «C'est encore un peu difficile, confie-t-elle. J'y pense toujours énormément et ai beaucoup de contacts avec ses parents.»

En attendant de reprendre peu à peu une vie normale, Melissa tentera donc de remporter le titre national. Et a déjà d'autres rêves en tête. «Le championnat, cela pourrait peut-être m'ouvrir des portes en vue de la saison prochaine, conclut celle qui a débuté dans le sport automobile à 16 ans, en circuit, au volant d'une Toyota Yaris. Même s'il faut rester réaliste, devenir pilote professionnel comme Duval, Loeb et Hirvonen est très difficile. Pensons d'abord à rouler au Condroz pour gagner le championnat. Mais ici au Condroz, sur le plus beau rallye de la saison, avec le parcours le plus difficile et le plateau le plus relevé...» Tout peut arriver, il suffit d'y croire!



source http://www.actu24.be/article/regions/huywaremme/sports/melissa_debackere_roulera_pour_rentrer_dans_lhistoire/209070.aspx

DEFERM JOUE LE TITRE AU C ONDROZ, MAIS RESTE COOL...


À 56 ans, le «paveur de Remicourt» partira à la conquête du titre national sur les routes du Condroz. Sans se mettre de pression particulière...

Dans de nombreux esprits, Hubert Deferm fait figure d'«ancien» dans l'univers du rallye. Pourtant, lui et sa bouille de bon vivant, sa moustache caractéristique ne sillonnent les parcs d'assistance, les nombreuses spéciales du royaume que depuis une petite dizaine d'années... «C'est vrai, je suis un jeune rallyeman, sourit-il. J'ai contracté le virus du rallye lorsque j'avais 16 ou 17 ans, notamment grâce aux nombreux «rallyes-pirate» qu'il y avait dans la région. Mais j'ai fait l'inverse de beaucoup de jeunes : j'ai d'abord pensé à travailler, et j'ai créé ma société il y a 20 ans. Ce n'est qu'il y a 8 ans que j'ai commencé le rallye.»

C'est suite à de gros ennuis de santé, alors qu'il avait 45 ans, que le pilote hesbignon décidait de franchir le pas. «Je me suis dit alors qu'il y avait autre chose que le travail dans la vie, et que si je m'en sortais, j'en profiterais pour vivre ma passion pleinement, reprend Hubert Deferm. J'ai ainsi débuté par la course de côte, le circuit, avant d'entrer de plain-pied dans le monde du rallye en 2000.»

Un rêve éveillé pour celui qui a été commissaire de piste et qui a donc assouvi sa passion à différents échelons... «J'ai même sponsorisé les commissaires l'année passée, la boucle est bouclée!, reprend celui qui n'hésite jamais à offrir ses... trophées quelques instants après les avoir reçus. On pourrait penser que je suis blasé, mais ce n'est pas du tout ça! Je prends énormément de plaisir à donner une coupe à un passionné au bord du podium, presque plus que lorsque je la reçois. Voir des yeux qui s'illuminent ainsi, c'est incomparable.»

C'est sûr, le propriétaire de deux Subaru Impreza WRC est un grand monsieur. Enfin... ex-propriétaires de deux Subaru, puisque le matin même de notre entretien, il venait de vendre la plus ancienne des deux après avoir longuement hésité. «En effet, je viens de la vendre à Bernard Munster, dit-il avec, déjà, une pointe de nostalgie. Et elle sera déjà de retour sur la route à l'occasion du Condroz, puisqu'elle sera louée à cette occasion à... Patrick Snijers!» Soit l'un de ses deux adversaires pour le titre de champion de Belgique... Quelle ironie si le grand Patrick décrochait le titre sur la voiture d'Hubert! Cela dit, cette hypothèse ne tracasse pas trop l'Hodeigeois d'origine : «mes rêves, je les ai déjà réalisés, conclut-il. Il y a 20 ans d'ici, jamais je n'aurais imaginé côtoyer Snijers, Duez... des pilotes que j'admirais à l'époque. Je suis en train de vivre un rêve pour le moment, j'espère vraiment ne pas me réveiller après le Condroz!»


source http://www.actu24.be/article/regions/huywaremme/sports/deferm_joue_le_titre_au_c_ondroz,_mais_reste_cool/208623.aspx

«Transpirer au volant me manquait»


Quand on est «tatoué» comme Bruno Thiry, une participation au sommet de la saison belge, ça ne se loupe pas. Même si on est retraité depuis 4 ans.

Même retraité depuis 4 ans (déjà), même au volant d'une mini-voiture en l'occurrence une Citroën C2-R2 Max, Bruno Thiry sera, à coup sûr, l'une des attractions du rallye du Condroz, cette fin de semaine. Car l'ancien champion d'Europe sera parmi les plus capés des participants, avec notamment quatre succès à Huy «sur quatre autos différentes» rappelle-t-il.

Aujourd'hui pilote-essayeur pour Goodyear chargé de trouver les gommes les plus adaptées aux futures BMW ou voitures du groupe allemand «J'étais début de semaine encore, au volant de la prochaine Rolls Royce décapotable» Bruno revient aux affaires «parce que transpirer au volant me manquait, avoue-t-il. Pas la conduite car je roule beaucoup, j'en suis d'ailleurs à 23 semaines hors de la maison cette année, mais mon boulot consiste à tester le confort, le bruit, l'aspect directionnel des pneus. Bien sûr, je me lâche parfois sur le «vieux» Nurburgring, l'un de nos terrains de tests favoris, mais la lutte contre le chrono n'est plus la priorité. D'ailleurs tous mes collègues sont ingénieurs et pas pilotes ou ex-pilotes.»

Mais on ne se refait pas. «Et plus le Condroz avançait, plus cela me démangeait. Mais vu les prix pratiqués pour une location (150.000 €, soit une maison, pour une WRC!), je désespérais. Du coup, j'ai un peu provoqué Yves Matton, je l'avoue, qui de son côté, envisageait une opération pour lancer MY Racing, sa structure de distribution de C2-R2 Max et de pièces Citroën Sport. Et me voilà au départ!».

Opposé à armes égales non pas, comme prévu, à l'autre ancien champion d'Europe Simon Jean-Joseph, forfait on le sait, mais à son compatriote Sébastien Ogier, tout frais champion du monde Jr. «Presque une guerre de générations», rit Bruno qui aura l'expérience du terrain pour lui, le Français celle de l'auto.

S'il ne compte plus ses participations hutoises, Bruno est sûr d'une chose : «Cette fois il ne faudra pas m'attendre aux avant-postes. C'est la passion qui me guide et plus l'ambition. Ou alors celles de me faire plaisir et d'en donner tant que je peux aux spectateurs. Certains d'entre eux seront peut-être étonnés de me voir 23e ou que sais-je, mais je n'ai aucune pression. Pour avoir piloté une C2 au rallye du Luxembourg, récemment, je peux dire que j'ai toujours autant de plaisir à piloter. C'est que ça vit ces petites autos!». Et, avis aux amateurs, MY Racing vend la sienne : 62 000 € HTVA.


source http://www.actu24.be/article/sports/moteurs/«transpirer_au_volant_me_manquait»/209447.aspx

qui veux une C2R2 MAX???

la C2R2 MAX, trops chère pour moi....

Collard vise la victoire en Groupe N


Sur la lancée de son succès quelque peu inattendu au rallye du Luxembourg, le pilote Subaru espère la victoire dans sa catégorie.

Huitième et dernière manche du championnat de Belgique des rallyes, la 35e édition du rallye Condroz sera une nouvelle fois la grande fête de la discipline. Le succès de l'épreuve est dès à présent assuré avec un plateau de rêve fort de plus de deux cents équipages dont huit WRC emmenées par la Focus de Peter Tsjoen, favori tout désigné à la victoire finale. Parmi les voitures de pointe, on note encore la Subaru WRC de Xavier Bouche, mais on peut se demander comment se comportera le Hottonais en manque de compétition.

Dans la catégorie voitures de production (GrN), Olivier Collard a sans doute un beau coup à jouer. Associé à Christian Dubois avec qui il a remporté la victoire absolue au rallye du Luxembourg, le citoyen de Marenne pourrait profiter du match que vont se livrer pour la victoire au championnat Lhonnay (Mitsubishi Evo9) et De Keyser (Subaru Impréza WRX).

«Une victoire en GrN et un top dix final, ce serait super, mais il y a une grosse concurrence, explique Olivier Collard, qui espère des routes grasses sur lesquelles il excelle. On va en tout cas démarrer sur les chapeaux de roue», prévient-il.

Outre Bertrand Grooten et Damien Simons on retrouve un autre de nos représentants dans la catégorie, mais dans le baquet de droite. Copilote de Cédric Verhees (Mitsubishi Evo9), Manu Gonay espère atteindre l'arrivée dans le bon peloton.

Yanick Bodson forfait
Pressenti pour s'aligner au volant d'une BMW M3, le Bomalois Yanick Bodson s'est vu refuser l'inscription par le RACB pour voiture non homologuée. On pensait alors qu'il allait s'aligner au volant de la Porsche Cayman avec laquelle il avait disputé le Wallonie, mais il n'en sera rien. Le voilà réduit au rang de simple spectateur.

«Le RACB m'a prévenu la semaine dernière que la BMW était finalement conforme, mais il était trop tard», regrette Yanick Bodson.

D'autres équipages de la province prendront le départ, mais avec des ambitions limitées. Ce sera notamment le cas de Laurent Wilkin (Peugeot 206) qui n'espère pas mieux que terminer aux portes du top 5 de sa classe. On suivra aussi avec attention le comportement de Fabrice Jehenson et Charles Rousseau (Citroën C2) qui avaient réalisé une très belle performance l'an passé. Sébastien Collard se lance pour la première fois dans le grand bain des épreuves nationales avec une Citroën C2 challenge alors qu'Éric Gillet, le patron d'EMG, sera cette fois derrière le volant de sa Renault Clio.

source http://www.actu24.be/article/regions/luxembourg/sports/collard_vise_la_victoire_en_groupe_n/210009.aspx

dommage pour le bod's

http://sport.turbomagazine.be/index.php?pg=news&id=925

oui là, c'est bien triste

sa ferra bizare de plus le voir

Pour suivre en live: http://www.ris-timing.be/